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13/10/2014

Une association nous invite

aube portes ouvertes.jpg

17/09/2014

PETTION pour défendre la profession de psychologue menacée de disparition

Pétition nationale pour la profession de psychologue et la psychologie en France  Cliquez ici pour signer

 

En vue de la future loi de santé :

Organisations signataires, psychologues et citoyens français,

Nous voulons ici manifester :

1. notre refus de la surmédicalisation de la santé psychique des citoyens français : toute souffrance n’est pas une maladie, et la santé n’est pas l’apanage du domaine médical ;

2. notre refus de la subordination de l’intervention du psychologue à une prescription médicale : les psychologues ne sont pas des rééducateurs du psychisme ;

3. notre refus de faire payer aux citoyens français des consultations psychologiques non remboursées à l'hôpital, alors même qu’ils sont pris en charge par le service public hospitalier ;

4. notre refus de la précarisation des conditions d’exercice des psychologues dans les services de santé : le travail sur et par le psychisme exige de garantir un cadre spécifique ;

5. notre refus du sacrifice de la formation des étudiants futurs psychologues par un dispositif de gratification qui tend à les exclure des terrains de stage hospitaliers.

Nous exprimons :

1. notre volonté de voir inscrire dans la loi de santé un véritable projet pour la santé psychique des français, en donnant aux psychologues et à la psychologie la place qui leur revient ;

2. notre volonté que soit instaurée une représentation adéquate de la profession de psychologue dans les instances locales, régionales et nationales du système sanitaire ;

3. notre volonté que soit créée une véritable filière psychologique dans les établissements de santé, afin d’y garantir des conditions d’exercice adaptées au métier de psychologue ;

4. notre volonté de voir protégés les citoyens contre les mésusages de la psychologie par l’instauration d’un Haut Conseil des Psychologues ;

5. notre volonté de permettre aux citoyens français d’accéder à une consultation de psychologue aussi facilement qu’à une prescription de médicaments psychotropes.

15/09/2014

Conférence jeudi 18/09/14

En préambule à la formation pour les psychologues de l’EPSAN
sur le thème « La crise : quand ça crise, ça crée ? »  qui se déroulera en octobre 2014,

l’Association des Psychologues de l’EPSAN en partenariat avec l’EPSAN a le plaisir de vous inviter à la conférence-débat tout public :

 La crise : une étape créatrice d’organisation ?

 présentée par le Pr. Thierry NOBRE*

le jeudi 18 septembre 2014 de 18h à 20h

 à la salle de conférences de l’EPSAN

   *Professeur de Sciences de Gestion - Directeur du laboratoire HuManiS - Directeur de l’Executive MBA Management hospitalier et des structures de santé (MH2S), auteur de l’ouvrage « L'innovation managériale à l'hôpital : 14 cas de mise en œuvre » Collection: Santé Social, Dunod en 2013.

01/09/2014

Lettre à la ministre de la santé pour la profession de psychologue et la psychologie en France

Autre chose que la grève, ce courrier "anonyme" émanant de la Commission FPH du SNP. Anonyme, de l'aveu même du SNP, peut s'entendre comme le soutien à un texte qui lui même porte l'entête du SNP. Le but semble être de noyer le ministère de courriers, et.....?
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"Chères consoeurs et chers confrères,
A tous les citoyens,
 
C’est officiel : le ministère de la santé a fait savoir publiquement par l’intermédiaire de la DGOS que le projet de future loi de santé ne comporterait aucune disposition concernant les psychologues et la psychologie.
 
La préoccupation pour la santé psychique des français n’est donc toujours pas à l’ordre du jour, dans le pays le plus consommateur de médicaments psychotropes au monde.
 
Une véritable conception démocratique, économique et pluridisciplinaire de la santé ne peut faire l’impasse sur la psychologie et les psychologues, dont l’action est reconnue par les citoyens.
 
Si vous partagez notre vision humaniste de la politique de santé publique, prenez connaissance de la lettre anonyme ci-jointe, imprimez-la et envoyez-la à la ministre de la santé.
 
Soyons nombreux à manifester notre indignation et notre refus de subir une nouvelle loi de santé arbitraire !"
 
Commission de la Fonction Publique Hospitalière
SYNDICAT NATIONAL DES PSYCHOLOGUES
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                                                                      Madame Marisol TOURAINE
                                                       Ministère des Affaires sociales et de la santé
                                                                         14, avenue Duquesne
                                                                            75350 PARIS 07 SP
 
                                      LETTRE A LA MINISTRE DE LA SANTE
                 pour la profession de psychologue et la psychologie en France
 
 
                                                     Madame la Ministre,
Par la présente lettre, je vous exprime :
 
1/ mon refus de la surmédicalisation de la santé psychique des citoyens français : toute
souffrance n’est pas une maladie, la santé n’est pas l’apanage du domaine médical ;
 
2/ mon refus de la subordination de l’intervention du psychologue à toute prescription
médicale : les psychologues ne sont pas des rééducateurs du psychisme ;
 
3/ mon refus de faire payer aux citoyens français des consultations psychologiques non
remboursées alors même qu’ils sont pris en charge par le service public hospitalier ;
 
4/ mon refus de la précarisation des conditions d’exercice des psychologues dans les services
de santé : le travail sur et par le psychisme exige de garantir un cadre spécifique ;
 
5/ mon refus du sacrifice de la formation des étudiants futurs psychologues par un dispositif
de gratification qui tend à les exclure des terrains de stage hospitaliers.
 
Par la présente lettre, je vous exprime :
 
1/ mon souhait de voir inscrire dans la loi de santé un véritable projet pour la santé psychique
des français, en donnant aux psychologues et à la psychologie la place qui leur revient ;
 
2/ mon souhait de voir instaurer une représentation adéquate de la profession de psychologue
dans les instances locales, régionales et nationales du système sanitaire ;
 
3/ mon souhait de voir créer une véritable filière psychologique dans les établissements de
santé, afin d’y garantir des conditions d’exercice adaptées au métier de psychologue ;
 
4/ mon souhait de voir protégés les citoyens contre les mésusages de la psychologie par
l’instauration d’une instance nationale de régulation de la déontologie des psychologues ;
 
5/ mon souhait de permettre aux citoyens français d’accéder à une consultation de
psychologue aussi facilement qu’à une prescription de médicaments psychotropes.
 
                                                                                             Le 25 août 2014
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25/08/2014

Une rentrée cruciale pour l'avenir de la profession de psychologue en France

Communiqué de l'intersyndicale SIUEERPP, SNP, UNSA, et CFDT

samedi 20 septembre prochain,
de 14h30 à 17h,
à la Maison de La Salle
78A rue de Sèvres
75007 Paris.

04/08/2014

Appel de J. Borgy du SNP à une rencontre pour défendre la profession le samedi 20 septembre à PARIS

Jacuqes BORGY du SNP propose d'axer la défense de notre profession en faisant pression sur le parlement qui discutera de la loi de santé début 2015, il faut donc se mobiliser avant. Il propose en tant que secrétaire général du SNP une rencontre le

samedi 20 septembre de 14h30 à 17h00 à la Maison de La Salle 78A
rue de Sèvres 75007 PARIS

Lettre du SNP

(Le rapport Robiliard figure dans la colonne à droite)

30/07/2014

Appel des psychologues de l'UNSA : "Indignons-nous et opposons nous à la médicalisation de la psychologie ! Mobilisons nous contre la disparition des Sciences Humaines à l’hôpital !"

Merci aux collègues de l'UNSA qui ont cru jusqu'au bout qu'il était possible de négocier avec la DGOS et le ministère. En espérant que cette prise de conscience ne sera pas trop tardive et permettra enfin une mobilisation de l'ensemble de la profession et des syndicats voici le compte-rendu de la dernière réunion de "négociation".

Psychologue à l’Hôpital : Une profession menacée !

30/05/2014

Appel à la grève et à la manifestation nationale des psychologues du 19 juin 2014

RDV A PARIS LE JEUDI 19 JUIN 2014 

POUR UNE GRANDE MANIFESTATION NATIONALE 

DANS LE CADRE DE LA GREVE 

Rassemblement à 13h Place de la Catalogne Paris 14ème

 

Tract commun de SUD et SOLIDAIRE

Appel à la grève du Syndicat National des Psychologues

Tract commun de l'intersyndicale CGT, SUD, FO  et CFTC

"Le retour des Contrats à Durée Indeterminée dans la FPH"

courrier de la direction des ARS de Bourguogne

reponse_ars_aux_psychos_mars_2014.pdf

28/05/2014

Prochaine réunion de l'intercollège le 6 juin 2014 de 10h à 16h à Paris

CR de la réunion des inter-collèges qui a eu lieu à Paris en mars.

25/04/2014

Des psychologues de la fonction publique en grève contre la précarité

Cet article de Libé qui fait état de la grève des pqychologues du jeudi 10 avril indique que : "Selon les syndicats, près de 60% des psychologues exerçant en hôpital ou dans les collectivités territoriales sont touchés par la précarité, notamment en raison du statut de contractuel qui concerne une grande partie d'entre eux"

Lire l'article...

 

21/01/2014

La santé mentale et l’avenir de la psychiatrie

La santé mentale et l’avenir de la psychiatrie

COMMUNIQUÉ du SNP SUR LE RAPPORT SANTE MENTALE ET AVENIR DE LA PSYCHIATRIE

EXTRAIT

Un rôle accru pour les psychologues cliniciens

Le recours au psychologue en premier recours pourrait être favorisé. Cela permettrait une première prise en charge, quitte, si la nécessité en était constatée, à organiser à bref délai une consultation chez un psychiatre. Il sera, par ailleurs, peut-être plus facile pour certains patients d’accepter de rencontrer un psychologue plutôt qu’un psychiatre, profession d’emblée associée au traitement de la folie.

En pratique, de nombreux psychologues pratiquent déjà des psychothérapies dans les CMP. Un quart de celles-ci, selon M. Jacques Borgy du Syndicat national des psychologues, sont réalisées par les psychologues (200).

Ces professionnels s’inscrivent dans une démarche complémentaire. De par leur formation en sciences humaines, ils traitent de l’individu mais aussi de son environnement et peuvent travailler également avec la famille.

Votre Rapporteur préconise de reconnaître un rôle aux psychologues cliniciens en premier recours et d’examiner la possibilité et les modalités d’une prise en charge de leur exercice par l’assurance maladie (proposition n° 25).

08/01/2014

Intercollège alsacien du 4 février 2014

Objet : Intercollège

     Chers collègues,

     L'année 2013 s'achève, laissant notre profession dans de nombreux questionnements, notamment au sujet de l'expérimentation de structuration qui sera mise en place sur le plan national.

     Au niveau régional, il semblerait que seuls quelques hôpitaux entrent dans ce projet. Mais il paraît primordial que tous les collèges puissent s'exprimer sur le sujet et que nous puissions réfléchir tous ensemble aux enjeux qui sous-tendent ce projet et à sa mise en place locale.

     Il est entendu que l'ordre du jour ne doit pas s'arrêter à la question de l'expérimentation, et tout autre point est le bienvenu.

     Bien cordialement

le collège des psychologues du CH de Mulhouse
  

     Mardi 4 février 2014, de 14h à 17h 
     Salle de réunion DSET - Pav 29 (2è étage) 
     Hôpital du Hasenrain (87 av d’Altkirch, 68100 Mulhouse)

                                                                                                                    c'est Ici

SULISOM (Subjectivité Lien Social et modernité)

Pour info

L’EA 3071 ouvre ses séminaires de Master 2 recherche aux professionnels de 18h à 19h30 à l’amphi Viaud de la Faculté de psychologie. La thématique proposée pour 2013 – 2014 est :Pourquoi des enfants

Les transformations sociales et familiales actuelles ont contribué à modifier la place de l’enfant au sein de la famille et de la société : si sa place a été à la périphérie de la famille, aujourd’hui l’enfant est fortement idéalisé et devient le lieu illusoire de l’accomplissement de ses parents. Parallèlement un modèle de plus en plus normé et exigeant de l’être parent se dessine et entraine une responsabilisation parentale accrue.

Des enfants pourquoi ? Pour qui ? A qui appartiennent-ils ? interroge tout récemment Martine Segalen

Comment la théorie analytique nous oriente-t-elle pour penser ce qui se formule dans le champ social en termes de droits (droits de l’enfant, droits à l’enfant), en termes de modèles parentaux ? Qu’en est-il du désir d’enfant et de la transmission de la vie ? C’est ce que nous proposons de mettre au travail au cours de ces deux prochaines années

  • Vendredi 11 octobre 13, Amphi Viaud : La conférence de Jean-Pierre Durif-Varembont, Maître de conférences HDR en psychologie et psychopatho-logie cliniques, Lyon 2.,  sur « Qui fait famille, l’enfant ou les parents ?« 
  • Jeudi 28 novembre 13, Amphi Lagache : La conférence de Mary Plard, Avocate au barreau de Nantes,  sur « Liberté, Egalité, Paternité ?« 
  • Jeudi 30 janvier 14, Amphi Lagache : La conférence de Claire Metz, Maître de conférences HDR en psychologie clinique, ESPE, Strasbourg  sur : « La place paradoxale de l’enfant
    témoin de violences conjugales. »
  •  Jeudi 13 février 14, Amphi Lagache  : La conférence de Israël Nisand, Pr de Gynécologie-obstétrique Responsable de Pôle au CHU de Strasbourg,  sur « Elles accouchent sans avoir été
    enceintes »
  • Jeudi 13 mars 14, Amphi Viaud: La conférence de Francine Renault, Psychologue clinicienne ayant exercé à l’ASE du Bas-Rhin, Strasbourg, sur : « La professionnalisation des  » mères d’accueil »: une nouvelle donne pour l’enfant confié ?« 
  • Jeudi 17 avril 14, Amphi Lagache : La conférence de Marie-Claude Casper, Maitre de conférences HDR en psychologie et psychopatho-logie cliniques, Strasbourg,  sur : « Etre parent : du pourquoi au comment… »

10/10/2013

Pour arrêter de fumer

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08/10/2013

Journée Mondiale de la douleur au CHE

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03/07/2013

UFMICT-CGT communique : "Entretien annuel professionnel Entreprise de démolition du statut"

Entretien annuel professionnel Entreprise de démolition du statut

Deux nouveaux textes encadrent l'entretien annuel professionnel pour les agents titulaires et contractuels. 

Le Décret du 2010-1153 du 29 sept 2010 entretien professionnel et la Circulaire 

N°DGOS/RH4/2012/14 du 12 janvier 2012 relative à la mise en en œuvre de l'expérimentation de l'entretien professionnel dans la FPH. 

La phase d'expérimentation a été repoussée jusqu'à fin 2013, le décret s'appliquera dès 2014. Nous constatons malheureusement que ce décret s'applique déjà dans certains établissements sans aucune demande d'avis préalable en CTE et sans indiquer la nature profonde de ce changement. A la suppression de la note administrative tant décriée, le nouveau cadre règlementaire de l’entretien professionnel est un remède pire que la maladie. 

Idéologie de ces textes : l'esprit de ces textes est celui du rendement et de la rentabilité au sein d'une gestion managériale qui nie le statut de fonctionnaire. L'idéologie sous-jacente promeut la compétition, exacerbe la rivalité, l'individualisme entre les agents au dépend d'un travail d'équipe pluri-professionnel et du service public. 

Contexte : la loi HPST donne tout pouvoir au directeur qui peut déléguer aux responsables des pôles qui eux-mêmes peuvent déléguer aux médecins de proximité ou responsables d'unité. Cette organisation hiérarchique est désignée sous le vocable : pilotage de l’hôpital. 

Le décret mentionne dans son article 3, puis précisé dans la circulaire que « l’entretien professionnel annuel a pour finalité l’évaluation par le supérieur hiérarchique direct des résultats professionnels de l’agent, au travers d’objectifs définis et des compétences établies au cours de l’année écoulée. » 

Expérimentation : Dans les établissements où cette circulaire est déjà appliquée à titre expérimental, l'entretien peut se dérouler sur plus d’une heure, il se compose : 

- d'une auto évaluation qui consiste à remplir une grille d'auto évaluation 

- d'un entretien avec son supérieur hiérarchique qui aboutit à une note de A à D. Cet entretien commence par l'évaluation des objectifs atteints ou non de l'année passée, il se poursuit sur « le savoir être » et « savoir faire » et se termine par les objectifs à atteindre pour l'année à venir. La fonction FIR entre dans ce cadre ainsi que la formation professionnelle continue. 

Réaction : les psychologues ne peuvent accepter ce dispositif de l'entretien professionnel annuel qui inscrit un paradoxe majeur avec leur statut. Leur mission est de prendre en compte la dimension psychologique au sein de l'hôpital hors prescription médicale tant auprès des patients que des équipes. 

Discussion : attention au terme évaluation qui est un mot valise. Dans cette nouvelle réglementation ce mot prend la valeur de contraindre les psychologues à devenir des techniciens, des exécutants de tâches et d’objecti fixés par des directives données par des médecins-gestionnaires. Les psychologues sont des cadres de conception dont la compétence est issue de connaissances théoriques de haut niveau acquises à l’université et sans cesse réactualisées. 

Le danger :

pour les psychologues serait d’expliquer son travail clinique à un « responsable médical » qui n’a nul compétence, ni la légitimité ni le statut pour porter un avis qualitatif sur son travail. 

Propositions : la Fonction FIR constitue le cadre de l’évaluation continue des activités cliniques qu’il s’agit de défendre ardemment. La circulaire d'avril 2012 indique dans le volet administratif que les psychologues participent avec la DRH à la mise au point d'une grille de lecture de la fiche institutionnelle d'évaluation adaptée à la profession. 

Seule la délégation du pouvoir de nomination au directeur des ressources humaines, filière administrative dans laquelle les psychologues sont inscrits est en concordance avec le respect du statut des psychologues du décret de 91 précisé par la circulaire de 92.

Ce que nous défendons

L’évaluation dans sa définition règlementaire ne doit porter que sur les missions pour lesquelles les psychologues sont employés et auxquelles ils répondent. Le déroulé du travail clinique individuel et collectif doit trouver un autre cadre pour s’échanger : par exemple celui du projet psychologique de l’établissement (à négocier) dans lequel les psychologues devront partager leurs propositions avec celles de leurs collègues médecins et de la direction des soins. 

Refusez tout entretien professionnel annuel avec un cadre de santé, avec un médecin responsable d'unité ou avec le responsable de pôle et demandez collectivement un entretien à la direction des ressources humaines (lettre type par exemple). Exigez des négociations avec la direction avant toute autre démarche ! 

Fédération de la santé et de l’Action Sociale

Case 538  93515 MONTREUIL Cedex  Tél. : 01 55 82 87 57  Fax : 01 48 18 29 84 

BOURSE NATIONALE DU TRAVAIL  263, rue de Paris, MONTREUIL  Métro : Porte de Montreuil 

Site internet : www.sante.cgt.fr/  e-mail : ufmict@sante.cgt.fr

18/06/2013

Expérimentation : urgent ! A lire cette analyse d'Emmanuel GARCIN

Interrogations sur l’expérimentation des regroupements de psychologues 

Pourquoi maintenant, avec quelles arrière-pensées, 
avec quelles perspectives et avec quelle marge de manœuvre ?
 
 La paralysie du soupçon 
 
 Dans toutes les discussions sur l’actuelle expérimentation, se fait jour une interrogation
suspicieuse sur les intentions réelles de l’administration centrale. Et l’absence d’éléments de
réponse complique les prises de position, voire conduit à un refus d’engagement puisque les
termes du débat et donc la nature des enjeux ne sont ni clairement ni complètement exposés.
Les choses se passent comme si les professionnels se partageaient entre ceux qui craignent de
ne rien faire et de laisser passer une opportunité, et ceux qui craignent, en s’engageant dans
l’expérimentation, d’encourager ou de précipiter des options qui ne sont pas les leurs. Si l’on
n’y prend garde, le clivage entre les favorables et les réticents va tourner à la querelle des
« pro » contre les « anti ». Ce qui ne fera l’affaire ni des professionnels, ni du ministère de la
santé, ni des établissements. 
 
La réponse au « pourquoi maintenant ? », qui est la même que celle de l’élucidation des
« arrière-pensées », est presque triviale. C’est pour rendre possible la gestion et en particulier
l’évaluation des psychologues. En effet, il faut savoir que depuis de longues années, le grand
œuvre de la Fonction Publique est de renforcer son efficacité en terme de gestion des agents
en assouplissant les cadres réglementaires et statutaires. D’où le passage de la notion de
qualification à celle de compétence. Avec le cortège d’acquisition de compétences, de
transfert de compétences, de validation des compétences… D’où également le passage de la
mécanique de la notation au  processus de l’évaluation. Bien entendu sur la base… des
compétences. 
 
Pour ce qui concerne le passage de « profession » référée à une « qualification », à un
« métier » qui se décline en « compétences », c’est d’ores et déjà opéré par… la fiche métier.
C’est pourquoi la troisième version de celle des psychologues de la FPH figure en annexe de
la dernière circulaire en vigueur. Mais pour ce qui concerne l’évaluation des psychologues,
c’est une autre affaire, car pour l’organiser il faudra à un moment ou à un autre passer par la
voie de la réglementation. Mais produire de la réglementation en matière de psychologues,
c’est s’exposer au risque de la censure de la justice administrative, à laquelle les psychologues
ont pris l’habitude de recourir à chaque fois qu’ils l’ont estimé nécessaire. 
 
L’impossibilité de définir un N+1 
 
La difficulté, concernant l’évaluation des psychologues, peut se décrire ainsi. Pour évaluer un
agent, il faut un évaluateur. Ce que le langage administratif nomme un N+1, un agent d’un
grade hiérarchique directement supérieur. Et de surcroît il faut définir un évaluateur dont la
légitimité ne risque pas d’être contesté aussi bien en droit qu’au quotidien sur le terrain. Et
être légitime en matière d’évaluation, c’est être en capacité de se prononcer sur des
connaissances, des méthodes, des acquis, que l’on maîtrise soi-même. Or les connaissances et
les méthodes des psychologues sont issues de leur cursus de faculté de sciences humaines,
c’est-à-dire totalement indépendant et étranger aux directives du ministère de la santé.

Cela dit par différenciation d’avec les cursus des facultés de médecine et les programmes de
formation des infirmiers et des autres professions de santé. 
 
A ce point du développement, rappelons que c’est « par usage » et non par un effet de droit
positif que les chefs de service ou chefs de pôles notent les psychologues. Car comme nous
l’avons vu, réglementer l’affaire dans ce sens comporterait un risque juridique certain. Reste
donc comme seul N+1 légitime, le Directeur, puisqu’il est l’autorité, investie du pouvoir de
nomination, et à ce titre également investi du pouvoir de notation. Mais que pourrait-il évaluer
de façon pertinente, autre que des critères de type administratif ? La seule solution est donc de
faire évaluer les psychologues par… des psychologues. Mais c’est chose impossible à l’heure
d’aujourd’hui faute de l’existence d’un grade hiérarchique, d’un N+1, dans ce corps. 
 
Le choix, par défaut, du ministère 
 
Examinons les perspectives actuelles pour l’administration centrale. 
- Faire évaluer les psychologues par le directeur. Peu satisfaisant et fort difficile
concrètement. 
- Créer un grade hiérarchique dans le corps des psychologues. Pour éviter de heurter
frontalement les psychologues, avait été tenté la mise sur pied d’une sixième année,
d’accès limité par numerus clausus déterminé par le ministère de la santé, en milieu
hospitalier et selon un modèle conçu par le ministère de la santé. Prolégomènes
évidentes à une fonction d’encadrement, mais restées sans suite. Dans la même
logique, le rapport de la mission Couty de 2009 recommandait expressément aux
psychologues d’opter pour un « statut de professionnel de santé », probablement afin
de pouvoir légitimement les faire gérer par le Directeur des Soins, responsable des
professions de santé de la filière infirmière et paramédicale.  
- Faire émerger cette fonction à partir des regroupements de psychologues. C’est la
solution retenue, ainsi que le montre la circulaire rendant possible l’expérimentation
de ces regroupements. 
 
Excluant le passage en force, le ministère de la santé a donc choisi de lancer le débat de
l’expérimentation, en s’efforçant néanmoins de l’orienter dans le sens qui lui convient. A n’en
pas douter, il arrêtera sa position définitive en fonction des réactions du terrain. 
 
Les options des psychologues 
 
Examinons maintenant les perspectives pour les psychologues face à cette situation inédite. 
- Ne pas s’engager dans l’expérimentation. Tendance assez forte rassemblant des
indécis perplexes et en particulier les plus soupçonneux à l’endroit des visées réelles
de l’administration centrale. Cette position comporte le paradoxe de laisser le champ
libre par faute de proposition alternative, à ceux qui préconisent des solutions jugées
défavorables. 
- Soutenir le principe d’un coordonnateur « désigné », et donc permanent. C’est une
tendance assez forte du côté des organisations, bien qu’elles s’entourent des
précautions oratoires de rigueur pour ne pas braquer définitivement les professionnels.
Dans un délai assez court, cela revient à la création d’un grade hiérarchique, un N+1,
par nomination. 
- Maintenir la logique collégiale avec le principe d’élections, qui a prévalu jusqu’à
présent. C’est d’autant plus envisageable que les collèges ne procèdent pas autrement
depuis leur origine. Pour autant, cela ne permet pas d’échapper à l’instauration d’un N+1.

Par contre, il serait élu au lieu d’être nommé. Avec un mandat éventuellement
renouvelable. Et autant que possible en faisant le choix de deux élus pour s’acquitter
de ces tâches délicates. 
 
L’avantage de cette dernière option est d’éviter la personnalisation de la fonction
hiérarchique, puisqu’il y a possibilité de renouveler par élection à échéance régulière les
tenants de la fonction. 
 
Pour conclure, nous souhaitons faire connaître notre conviction que la Fonction Publique en
général, et la Fonction Publique Hospitalière en particulier, préférerait renoncer aux
psychologues comme certains signes l’indiquent, plutôt que de renoncer à introduire un N+1
dans cette profession. Sans oublier que les psychothérapeutes, dont le cursus répond à un
cahier des charges produit par le ministère de la santé, pourraient donc intégrer, plus aisément
que les psychologues d’aujourd’hui, « les professions de santé ».  
 
Emmanuel Garcin
20 Mai 2013 
 
 
Pour la CGT, c’est le coordonnateur – nommé par le directeur dans le premier projet, coopté
ou élu par les psychologues dans le rectificatif – qui « met en œuvre les missions dévolues à
cette structuration » : projet psychologique et bilan annuel d’activité, gestion de la fonction
FIR, participation au recrutement et élaboration de la fiche d’évaluation. 
 
La lettre des psychologues. UFMICT-CGT. N° 19 et n° 19 bis – rectificatif – de Mars 2013. 
 
Pour le SNP, le « psychologue responsable de la structure de psychologie est un intermédiaire
indispensable à l’inscription des psychologues dans la ligne hiérarchique directement
rattachée au directeur d’établissement ». « Il bénéficie de la délégation fonctionnelle
nécessaire à son intervention dans le recrutement et l’évaluation ». 
 
Structuration institutionnelle : enjeux et perspectives. C° FPH du SNP – 25 Mars 2013. 

 

07/04/2013

LES PSYCHOLOGUES OUBLIES par la « mission parlementaire » sur l’avenir de la psychiatrie

A propos de l’actuelle « mission parlementaire » sur l’avenir de la psychiatrie

Depuis fin 2012, une « mission d’information » de la Commission des Affaires Sociales de l’Assemblée Nationale, travaille sur « la santé mentale et l’avenir de la psychiatrie », pour rendre ses conclusions en Juin 2013 !

Tout indique que ladite mission n’a pas reçu et n’envisage pas de recevoir des organisations de psychologues ou des personnalités de la psychologie. C’est d’autant plus choquant que dans les CMP, pour de multiples raisons, un partage tend à s'opérer entre médecins psychiatres qui assurent les prescriptions et psychologues qui assurent les suivis psychothérapiques. Cet état de fait est une tendance lourde, connue de tous les acteurs de terrain et généralisé sur le territoire.

Ces considérations sont à mettre en perspective avec les éléments de contexte suivants:

  • Le rapport du Sénateur Milon qui affirme que la psychiatrie est avant tout une affaire médicale. Le reste, c’est du social, c’est du conseil susceptible de surcroît d’être contaminé d’éléments sectaires.

  • Le plan de santé mentale 2011-2015 qui invite la psychiatrie à se recentrer sur son « cœur de métier » en réaction aux demandes croissantes qui se tournent vers elle.

  • Le rapport Couty de 2009 qui préconise de faire des psychologues une profession de santé (donc avec numerus clausus, actes sur délégation, contrôle du volume d’actes…).

  • A quoi il faut ajouter l’accent mis sur le développement de l’éducation thérapeutique (dont il est attendu rien moins qu’une réduction, de la consommation de médicaments, de recours aux médecins, d’hospitalisations…), un futur « master pro » pour les infirmiers psychiatriques, et un discours séparant de plus en plus troubles mentaux et santé mentale.

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Aussi, pour défendre la fonction de premier recours qu’ils assurent de plus en plus dans les CMP, pour défendre la dimension psychothérapique des prises en charge en psychiatrie, pour faire reconnaître une mission plus proche d’une forme de prévention individualisée que de la consommation de prestations calibrées… les psychologues et leurs organisations peuvent contacter les députés Denys Robilliard – PS – et Arnaud Robinet – UMP – respectivement rapporteur et président de la mission d’information de l’AN.

La liste des députés de la mission est consultable sur le site internet de l’AN, et le standard de l’AN est accessible au 01 40 63 60 00.


Emmanuel Garcin, le 6 Avril 2013


  • Rapport relatif à la prise en charge psychiatrique des personnes atteintes de troubles mentaux. Par le sénateur Alain Milon, Sénat, 19 Décembre 2012.

  • Mission et organisation de la santé mentale et de la psychiatrie. Par Edouard Couty, Ministère de la Santé, Janvier 2009.

  • Plan de santé mentale, 2011/2015. Ministère de la Santé.

     

15/01/2013

CIRCULAIRE N°DGOS/RH4/2012/396 du 26 novembre 2012 relative à la mise en œuvre de l’expérimentation de la structuration institutionnelle de l’activité des psychologues de la fonction publique hospitalière

CIRCULAIRE N°DGOS/RH4/2012/396 du 26 novembre 2012 relative à la mise en œuvre de l’expérimentation de la structuration institutionnelle de l’activité des psychologues de la fonction publique hospitalière

14/11/2012

Arrêté du 10 octobre 2012 modifiant l'arrêté du 11 octobre 2007 modifié déterminant les taux de promotion dans certains corps de la fonction publique hospitalière

Arrêté du 10 octobre 2012 modifiant l'arrêté du 11 octobre 2007 modifié déterminant les taux de promotion dans certains corps de la fonction publique hospitalière 

Recrutement des psychologues contractuels : la commission FPH du SNP nous informe

RECRUTEMENT DES PSYCHOLOGUES CONTRACTUELS DANS LA FONCTION PUBLIQUE HOSPITALIERE 

Les concours FPH de psychologues ne sont plus publiés au JO

Depuis le 15 octobre 2012, tous les concours FPH concernant le recrutement des psychologues ne seront plus publiés au Journal Officiel comme cela se faisait auparavant. 
L’article 5 du décret n° 2012-1154 du 15 octobre 2012 modifiant les conditions de publication des avis de concours de divers statuts particuliers de la fonction publique hospitalière énonce deux voies de publication :

1/ les avis de concours doivent être affichés de manière accessible au public :

- dans les locaux de l’établissement organisant ces concours,

- dans ceux de l’agence régionale de santé dont ils relèvent

- dans ceux de la préfecture du département dans lequel se trouve situé l’établissement.

2/ Ces mêmes avis de concours seront également  “publiés par voie électronique sur le site internet de l’agence régionale de santé concernée ainsi que sur les sites internet de l’ensemble des agences régionales de santé”.

Lire le décret

18/10/2012

Structuration des collèges et enjeux cliniques de la circulaire de 2012

Le psychologue dans son rapport à l'institution.

Structuration des collèges et enjeux

cliniques de la circulaire de 2012.

Formation organisée par le Collège du CH de Rouffach

 Jeudi 22 novembre 2012

de 13h30 à 17h00

Salle des fêtes de l'Hôpital de Rouffach

27, rue du 4ème RSM

68250 ROUFFACH

Déroulement de la demi journée

13h45: Mot d'accueil

14h00: Présentation de l'après midi. M. René Monami (CH Rouffach)

14h15: « D'une génération à l'autre, histoire de positions cliniques et de transmissions autour des regroupements institutionnalisés des psychologues ». Mme Maillard (CPO Alençon)

15h15: Pause

15h30: Table ronde: participants : Guy Blanrue et René Monami (CH Rouffach), ...

Débat.

Argument

Mémoire peu transmise d’une histoire en train de s’écrire, signes jalons avant coureurs, inscription précurseur dans l’organisationnel hospitalier, tels seront les thèmes qui guideront mon intervention pour tracer la nécessité d’une organisation structurelle des pratiques psychologiques dans le champ de la Santé, ceci aussi bien pour le service rendu aux personnes que pour le développement de la discipline et de la profession.

Il s’agira, à partir de vignettes cliniques, de présenter la pertinence d’un regroupement inventif des psychologues pour répondre aux questions que soulèvent les différentes cliniques psychologiques déployées dans un hôpital tant dans leur versant préventif, curatif que de recherche.

01/10/2012

ERSTEIN : Réunion intercollèges des psychologues hospitaliers d'Alsace, 4/10/2012 de 13h à 17h

LETTRE D'INVITATION

Chers collègues,

Pour notre prochain inter-collège d'Alsace du jeudi 4 octobre, organisé par
le collège des psychologues d'Erstein, nous vous proposons de nous
retrouver autour de l'ordre du jour suivant :

LIEU

CENTRE HOSPITALIER D'ERSTEIN : 13 route de Krafft, 67150 ERSTEIN

Salle Louis Wiedmann

(à gauche après le standard- en raison des travaux
importants sur le site de l'hôpital, il est préférable que vous vous gariez
sur le parking devant l'hôpital)

 ------------------------------

à partir de 13h : Accueil autour d'un café,.

13h30 - 14h : Rappel introductif de ce qui a animé la profession depuis
près de deux ans. (documents en pièces jointes dans un prochain mail :
nouvelle fiche métier ; nouvel arrêté concours ; circulaire de avril 2012 ;
nouvelle disposition sur le titre de psychothérapeute ; expérimentation
2013-2014).

14h-15h15 : Chaque collège pourra présenter un topo sur la situation
actuelle des psychologues dans leur établissement

(nous vous proposons une trame commune ci après)

discussion autour de la circulaire de avril 2012:
notamment les trois axes du projet de psychologie en articulation avec la
partie contractualisable du temps FIR, partie réservée à l'investissement
institutionnel.

15h30-17h : L'expérimentation à venir, introduite par la circulaire du 30
avril 2012 et dont nous attendons le lancement par la DGOS très
prochainement.

Réflexion sur les enjeux de pouvoir qui vont découler du mode de
structuration qui va être retenu (collège, UF, service....).


Trame commune proposée pour la présentation de l'état des lieux de la
situation des psychologues dans chacun des hôpitaux de la région :

- nombre de psychologues, d'ETP, de contractuels, de titulaires.

- supérieur hiérarchique : auprès de quel professionnel se déroule
l'entretien individuel d'évaluation. Désigné par délégation par le
directeur? par le chef de pôle?

- Compte rendu d'activité annuel : individuel ? collégial? Pôle par pôle?
S'insère dns un rapport d'activité global?

- relation avec la direction et/ou avec le directeur des ressources
humaines : évolution entre la circulaire de mai 2010 et depuis son
abrogation par la circulaire de avril 2012

-modalité pour le temps fir : uniformisation en terme de temps pour
l'ensemble des psychologues? modalité particulière à chaque pôle
d'activité? difficultés rencontrées pour permettre cette fonction FIR

-négociation? définition du temps nécessaire au temps fir? dans quel
climat cela se déroule-t-il?

- ordre de mission permanent : existe-t-il? ou non? Difficultés
rencontrées?

(D'ici le 4 Octobre, la DGOS aura peut-être envoyé les documents du
lancement de l'expérimentation à nos directions).

24/09/2012

A ne pas manquer : la semaine des parents du 7 au 14 octobre 2012 sur tout le Bas-Rhin

Capture d’écran 2012-09-24 à 10.37.06.jpg

20/09/2012

L'étourdie. Féminité et modernité, de Freud à Lacan

L’ACF-Est, l’Association des Psychologues Freudiens et le laboratoire SULISOM de la Faculté de Psychologie de Strasbourg vous invitent à la :

RENCONTRE AVEC DES PSYCHOLOGUES ECRIVAINS

Jeudi à 18h30 à la Faculté de Psychologie de Strasbourg

 12 rue Goethe - Amphi Lagache

 Le 27 septembre 2012

Emmanuelle Borgnis Debordes et Pierre-Paul Costantini :

 "L'étourdie. Féminité et modernité, de Freud à Lacan."

 L’étourdie

 Féminin et modernité,de Freud à Lacan

« La femme n’existe pas » disait Lacan, seules des traces d’elle – des traces d’être – se saisissent dans ses manières d’être au monde, dans ses identifications et ses ravages, ses amours passionnés et ses dérélictions mélancoliques, dans ses extases mystiques et ses sacrifices anorexiques, dans ses mises en scène théâtrales et ses écritures du vide. Le désir, au féminin, est corrélé à une volonté de jouissance qui se montre dans le rapport, toujours symptomatique, au partenaire. Seule une clinique de la sexuation, et non plus de la castration, nous introduit à une clinique de la position féminine de l’être échappant à tout déterminisme anatomique ou à tout choix d’orientation conforme au sexe.

Discutantes : Isabelle Galland et Anne Thévenot

16/09/2012

"Le corps morcelé", bibliothèque idéale mercredi à Strasbourg

Le corps morcelé

Localisation : Médiathèque Malraux

1 presqu’île André Malraux – 67000 Strasbourg

19/09/2012

[A 19h] - Salle d’exposition – rez-de-chaussée

Le corps est un grand meccano fragile ; qu’un accident ou une maladie survienne et l’une des parties peut s’abimer gravement ; dans notre société marchande, le corps se consomme t il comme n’importe quel produit ? Depuis longtemps, la médecine tente de remplacer les parties hors service ; ainsi les prothèses mécaniques avec leurs accessoires électroniques peuvent aujourd’hui remplir les fonctions de nos membres. Les greffes mais aussi la chirurgie réparatrice seront interrogées pour comprendre la surenchère croissante de la demande sociale envers les services médicaux, chirurgicaux et pharmaceutiques

Avec :

Israël Nisand, auteur de Et si on parlait de sexe à nos ados (Odile Jacob)
David Le Breton, auteur de Anthropologie du corps et modernité (PUF)
Nadia Aubin, directrice du Forum de bioéthique
Noëlle Chatelet, auteure de Le baiser d’Isabelle (Points Seuil), Corps sur mesure (Seuil) 
Rencontre animée par Antoine Spire.

15/09/2012

Amour et baiser Strasbourg 18/09/12

Amour et baiser

 Date : Le 18 septembre 2012 à 19h00

Pour Nicolas Grimaldi, la personne aimée est inventée plutôt que choisie. Mais, parce qu’il nous semble que nous ne pourrons pas vivre sans elle, il nous semble aussi que nous aurions manqué notre vie si nous ne l’avions rencontrée.
« Amoureux, amical ou fraternel, mais toujours signe de notre humanité, le baiser est don et reconnaissance de l’altérité, il est aussi peut être le plus beau geste du désir. » écrit Belinda Cannone pendant qu’Alexandre Lacroix s’interroge sur le rôle que jouent les baisers dans une vie, de l’adolescence à l’amour conjugal.
Mardi 18 septembre à 19h, au rez-de-chaussée à Malraux 

07/09/2012

Instruction de la DGOS aux psychologues relative au titre de psychothérapeute

INSTRUCTION N° DGOS/RH2/2012/308 du 3 août 2012 relative à la mise en oeuvre du décret n° 2012-695 du 7 mai 2012 modifiant le décret n° 2010-534 du 20 mai 2010 relatif à l’usage du titre de psychothérapeute et aux modalités d’inscription sur le registre national des psychothérapeutes.